Catherine de Montmarin, sculptrice d’émotions

L’imagination traduite en bronze, résine ou pâte de verre
Tina BARNEY tisse des liens au jeu de Paume

Après avoir œuvré dans le journalisme d’art et de décoration, Catherine de Montmarin décide de se consacrer à sa vraie passion depuis l’enfance, la sculpture. Elle l’étudie, la collectionne, prends des cours dans des ateliers parisiens, puis se lance. Son imagination fertile lui vient de ses voyages, des expositions qu’elle visite, de photos… c’est pour elle une nourriture perpétuelle. « Même la nuit, je travaille du chapeau » explique-t-elle avec humour. C’est un bonheur de la voir travailler ses scuptures en bronze, en résine ou en pâte de verre, toutes réalisées d’après un moule en terre, plâtre ou cire de sa création. Ceci, dans son vaste atelier du quartier Montparnasse, dans ces bâtiments qui datent du 19e, derrière le musée Antoine Bourdelle.

Son dernier happening à la galerie Etienne de Causans, mettait en lumière les animaux symboliques, flamands roses, bouquetins, hippocampes ou le très impressionnant Émotions Imaginaires, des sculptures imposantes que d’aucuns exposent dans leur salon, mais aussi dans leur jardin où ils font merveilles. Parmi ses quatre enfants, on compte déjà une nouvelle sculptrice. Les chiens ne font pas des chats… catherinedemontmarin.com